Mise à l'eau seul, de 15h30 à 16h30 au capu d'acciaghju. Petite sortie destinée à vider les sinus et tester un peu de matériel. Par rapport au vent qui nous a secoués la mer était calme, un petit courant de S-O et un léger clapot, un peu de particules en suspension mais une dizaine de mètres de visi malgré ça. Bref, des conditions propices à l'indienne axée sur la recherche du poisson blanc.
Las! les beaux sars ne sont pas au bord, pas de daurades non plus, seuls quelques mulets que je vous laisse bien volontiers... Je m'enlargue donc sur un fond de 15m environ, déterminé à tirer un beau sar à l'agachon, voire une daurade. La plus grosse que je vois fera 500g, le plus beau sar même pas. Les agachons ne paient pas, le bord non plus, il y a peu de vie dans les blocs... Alors j'explore une partie de cette zone que je ne connais pas (il y en a peu là-bas). Je tombe sur une magnifique pierre à chapons, posée sur 8m... je n'ai pas besoin d'en faire le tour, en choisissant le bon côté le scorpaenidé me part devant la main, je lâche un tir à la volée, le voyant assez gros. Je regretterais immédiatement d'avoir fléché ce chapon de 500g. Il me rappelle ainsi que ce poisson ne nage jamais très loin, et qu'on peut se permettre d'attendre qu'il se pose pour le jauger. Mais une fois de plus l'expérience aura payé, avec un chapon trouvé sur une pierre inconnue, juste par la connaissance de leurs habitudes.
Las! les beaux sars ne sont pas au bord, pas de daurades non plus, seuls quelques mulets que je vous laisse bien volontiers... Je m'enlargue donc sur un fond de 15m environ, déterminé à tirer un beau sar à l'agachon, voire une daurade. La plus grosse que je vois fera 500g, le plus beau sar même pas. Les agachons ne paient pas, le bord non plus, il y a peu de vie dans les blocs... Alors j'explore une partie de cette zone que je ne connais pas (il y en a peu là-bas). Je tombe sur une magnifique pierre à chapons, posée sur 8m... je n'ai pas besoin d'en faire le tour, en choisissant le bon côté le scorpaenidé me part devant la main, je lâche un tir à la volée, le voyant assez gros. Je regretterais immédiatement d'avoir fléché ce chapon de 500g. Il me rappelle ainsi que ce poisson ne nage jamais très loin, et qu'on peut se permettre d'attendre qu'il se pose pour le jauger. Mais une fois de plus l'expérience aura payé, avec un chapon trouvé sur une pierre inconnue, juste par la connaissance de leurs habitudes.