Qui : Carl - Fabr1703 - Yo
Ou : Roscoff + St Quay
Quand : 11-12-13 / 07
Récit by Carlou :
Jeudi dernier, j'attrape de justesse le dernier ferry pour le continent, direction : la Bretagne!! J'avais prévu de passer quelques heures en famille à Lyon mais dans mon enthousiasme je ralie directement Nantes sans escale. Ce qui me permet d'être la pour la réunion de choix de zone avec mes deux comparses bretons. La météo à l'air de vouloir se dégrader, on laisse courir certains spots pour la houle trop forte, d'autres pour la mauvaise visi probable... Après quelques verres on se décide pour la cote nord de la Bretagne. Quelques heures de sommeils pour moi et pour Yo, tandis que Fabrice potasse les cartes marines et les points GPS, et on est parti.
Première mise à l'eau du bateau à la cale de Roscoff: trois confrères qui sortent leur zod de l'eau nous annonce du bonheur (eau trouble, courant, peu de vie...). Dans leur bateau juste un congre de 2 m et une ou deux vieilles, rien de très salivant! Enfin, il en faut plus pour nous refroidir!! Personnellement l'eau 15°C y réussit un peu, et du coup je me fait chambrer. Premier sec choisit par Fabrice qui a des envie de gros lieux: fond à 15 m environ, pas trop de visi avec des grosses particules,un courant de fou et une bonne houle. Au fond, des laminaires gigantesque posent problème pour s'installer à l'agachon. Après une demi-heure de chasse physique mais improductive, changement de spot. le vent nous pousse vers le large, on se fait donc une dérive depuis la cote, sur un plateau. D'entrée de jeu le coin me plait, avec ces taches de sable,ses roches et ses laminaires. Il y a de nombreux petits lieux, dont certains atteignent tout de même le kilo: Sous l'eau, j'entends claquer les sandows de mes collègues. Pour ma part après un lieu de chauffe, je tire mon premier bar de la saison, un poisson d'1.5 kg environ. Un maquereau suit pour le plaisir futur de mon estomac. Quelques autres bars sont présents sur la zone, malheureusement pas gros, nous les laissons en vie.
Je passe au camescope et filme mes compères à l'oeuvre: agachon sans tir pour Yo, agachon réussi pour Fab. Un peu plus loin je film un banc de plusieurs centaines de bars. J'apelle Yo histoire que je le filme en tirer un mais sur les deux agachons suivants les bars viennent mal.
Je repasse au fusil et tire encore un lieu et un bar, tandis que Fabrice cartonne les lieux, avec un beau doublé entre autre. Une sortie de reprise sympathique pour moi!! On rentre en se tapant le cul car la houle a forci.
Après quelques heures passées dans le jus, nous réussissons l'exploit de nous endormir devant le camping et de passer la nuit à 3 dans la mégane de Yo, deja bien emcombrée au demeurant!! Au matin , quelques minutes sont neanmoins neccessaires pour faire circuler un peu de sang dans des articulations trop longtemps pliées.
Changement de cale et remise à l'eau: nous voici à Saint Quay !! D'un accord commun, nous décidons de commencer plus soft que la veille: Fabrice ancre derrière une ile, ce qui permet à Yo et à moi de commencer la journée par un peu d'indienne dans peu d'eau. Et à Fab de s'équiper à son rythme, qui euh comment dire... prend un peu de temps!!
Après avoir exploré sans grand succès la face abritée de l'ile, on prend le courant avec Yo, et attaquons la dérive.
Fabrice vient à ma hauteur d'un coup de bateau: je prend le relai sur le bateau et lui attaque sa première dérive.
En plein courant, Fab croise les premiers bars de la journée, qu'il ne tire pas, ayant décidé de monter un peu la maille.
Pour ma part je contourne tout un archipel de secs et vais me placer en fin de dérive. A Cet endroit la le courant est plus acceptable: j'ancre le bateau, déroule un bout avec une bouée au cul du bateau et me mets à l'eau en attendant mes deux compères. Le premier agachon dans le jus, en plein sur le sable m'offre la visite d'un petit bar, puis d'un banc de belles royales. Elles n'ont pas l'air trop farouches mais je joue la sécurité et tire la première du banc. Y'a des journées qui commencent plus mal!!
Je ne ferais pas de second agachon, mes équipiers s'étend rués sur la zone.
Après quelques autres dérives pas très fructueuses, nous changeons de spot pour une autre petite ile: nous sommes maintenant en fin de descendant. Nous ancrons à l'abri du courant et nous partageons le travail: Fabrice part en quËte de homard, tandis qu'avec Yo nous partons exploré un grand champ de sargasses aussi beau que vide, mis à part des petits lieux et des gros mulets. Dans une petite veine de courant, 7 ou 8 bars sont calés, mais comme ils n'excèdent pas 1.5 kg ils restent en vie: le plus beau vient m'inspecter de très près, plutôt sympa comme moment. Un peu plus loin, au pied d'un tombant, un petit lieu trop curieux me distrait et je vois trop tard un gros bar sortir d'un trou. De rage le lieu y passe, d'autant plus qu'il avait trois gros poux très moche sur la tete. Mes potes me chambrent instantanément , mais 5 minutes plus tard fabrice est très content de m'enprunter mon lieu pour faire sortir un beau homard de son trou. Operation réussie avec un beau bleu pas loin du kilo. La zone est très riche en homard, nous en observons 3 ou 4 maillés mais repartons en quête de bar!!
On change de spot et attaquons les dérives sur un immense plateau: d'abord assez vide, excepté la aussi en homard: mais ramasser les bleus dans le courant n'est pas une mince affaire, et j'ai la gâchette qui me démange. Je laisse la vie à plusieurs bars, dont un de 2.5 kg environ qui avait un bide complètement distendu (femelle grainée ou occlusion intestinale?) Celui qui venait juste derrière y passe, dans les 1.5 kg lui aussi! Dans le même temps fabrice tire un griset. Dans la foulée du bar je fais moi aussi mon homard, qui me coute 4 apnées dans le jus. Un peu plus bas sur la dérive, le plateau se creuse en une sorte de cuvette peine de lançons:Yo y croise une raie et y flèche un maquereau; tandis que je n'y trouve que des petits bars et lieux. Je suis surpris d'y voir des grands lançons (ou Èquilles?) manger les plus petits qui forment la masse.
Après ça, je propose d'utiliser le courant montant pour explorer un archipel près du bord. En fin de journée, il n'y a que Fab qui ait encore envie de profondeur! J'espère trouver des bars en vadrouille dans peu d'eau, d'autant plus qu'il doit etre pret de 19h... On se met donc à l'eau en dérive: après quelques centaines de metres, je remonte dans le bateau, déçu par la zone: pas de lançons, peu de bar!! J'en ai quand meme attrapé un à la main du kilo dans un trou, que j'accroche bien vivant sous la bouée de Fab, histoire de le chambrer un peu!! Yo quand à lui est plutot exalté quand il me rejoint sur le bateau, il vient de rater de peu ce quiaurait pu etre sa première royale!! Fabrice finit par sortir de l'eau, rigole un coup en voyant ce qu'il apelle "un bébé" sous la bouée! Le bébé repart à l'eau et nous au port!!
On reste la dessus pour cette seconde journée.
A la cale Booster, nous déleste de notre pêche, Excepté quelques fruits de mer pour le repas du soir, car nous n'avons pas de frigo!! Ce soir la nous arrivons jusqu'au camping, malheureusement fort pauvre en gente féminine. Du coup tout le monde fait une bonne nuit.
Le lendemain nous attaquons sur la zone à royale de la veille: pas trace de dorades, juste quelques lieux et petits bars aux endroits ou le courant est le plus marqué, que nous ne tirons pas, excepté un lieu pour fabrice.
On essaye une nouvelle dérive, à quelques centaines de mètres de la. Une dérive aussi longue que peu productive, je déchire le seul poisson valable croisé en 1.5 bon kilomètre, un bar de 4 kg environ. Et perd un bon bout de temps à enrouler mon fil qui zigzague dans les sargasses et les laminaires. En fin de dérive, Yo tire une seiche, avant de manquer se faire emboutir par un vieux con en bateau. Qui lui passe volontairement juste dessus, malgré les avertissement de Fabrice dans le bateau et deux bouÈes à l'eau. Du coup branle bas de combat, on rembarque tout en vitesse et coursons le fuyard. je saute sur le bateau pour me retrouver face à un con authentique, caseyeur de métier, qui a aucun moment ne changera d'attitude ni même ne niera avoir fait exprès de DEVIER sa trajectoire pour obliger mon pote à plonger. Seul son age le préserve d'un cassage de gueule en règle et d'un passage à l'eau ; retrospectivement j'ai quand même quelques regrets!
Après cet Épisode difficile de se remettre à l'eau, nous changeons de zone pour des éboulis derrière une ile a quelques kilometres de la. On mange un bout, ce qui ne m'empeche pas d'avoir un peu froid à la remise à l'eau. Une fois à l'eau, les roches sont couvertes de gorgonnes et prometteuses mais hélas vide, excepté quelques petits homards, les éternelles vieilles et un gobie léopard (c'est la premiere fois que j'en vois un). Après une bonne heure sans résultats, nous changeons de zone.
C'est finalement près du bord, sur des fonds de sable de 2 à 7 m, que nous croiserons les dernières bestioles du périples :raie, seiche, araignées par dizaines, et un mulet et un bar qui finiront sur l'accroche poisson , ou plutôt la tête sous mon haut de combi, car l'accroche poisson est dans le bateau!!
Eric nous rejoint de nouveau à la cale :Il nous invite et nous héberge ce soir la, pour une soirée entre chasseurs bien sympathique. Nous dégustons les diverses merveilles ramassées et quelques bières, et nous endormons tous le ventre bien plein, excepté Yob qui en dernière minute fait offrande de son repas aux toilettes!!
Un bien bon périple, merci les gars, et vivement le week end prochain qu'on remette ça!!
D'autres photos ici : https://www.facebook.com/photo.php?pid=30561417&l=045390098e&id=1172055624
Ou : Roscoff + St Quay
Quand : 11-12-13 / 07
Récit by Carlou :
Jeudi dernier, j'attrape de justesse le dernier ferry pour le continent, direction : la Bretagne!! J'avais prévu de passer quelques heures en famille à Lyon mais dans mon enthousiasme je ralie directement Nantes sans escale. Ce qui me permet d'être la pour la réunion de choix de zone avec mes deux comparses bretons. La météo à l'air de vouloir se dégrader, on laisse courir certains spots pour la houle trop forte, d'autres pour la mauvaise visi probable... Après quelques verres on se décide pour la cote nord de la Bretagne. Quelques heures de sommeils pour moi et pour Yo, tandis que Fabrice potasse les cartes marines et les points GPS, et on est parti.
Première mise à l'eau du bateau à la cale de Roscoff: trois confrères qui sortent leur zod de l'eau nous annonce du bonheur (eau trouble, courant, peu de vie...). Dans leur bateau juste un congre de 2 m et une ou deux vieilles, rien de très salivant! Enfin, il en faut plus pour nous refroidir!! Personnellement l'eau 15°C y réussit un peu, et du coup je me fait chambrer. Premier sec choisit par Fabrice qui a des envie de gros lieux: fond à 15 m environ, pas trop de visi avec des grosses particules,un courant de fou et une bonne houle. Au fond, des laminaires gigantesque posent problème pour s'installer à l'agachon. Après une demi-heure de chasse physique mais improductive, changement de spot. le vent nous pousse vers le large, on se fait donc une dérive depuis la cote, sur un plateau. D'entrée de jeu le coin me plait, avec ces taches de sable,ses roches et ses laminaires. Il y a de nombreux petits lieux, dont certains atteignent tout de même le kilo: Sous l'eau, j'entends claquer les sandows de mes collègues. Pour ma part après un lieu de chauffe, je tire mon premier bar de la saison, un poisson d'1.5 kg environ. Un maquereau suit pour le plaisir futur de mon estomac. Quelques autres bars sont présents sur la zone, malheureusement pas gros, nous les laissons en vie.
Je passe au camescope et filme mes compères à l'oeuvre: agachon sans tir pour Yo, agachon réussi pour Fab. Un peu plus loin je film un banc de plusieurs centaines de bars. J'apelle Yo histoire que je le filme en tirer un mais sur les deux agachons suivants les bars viennent mal.
Je repasse au fusil et tire encore un lieu et un bar, tandis que Fabrice cartonne les lieux, avec un beau doublé entre autre. Une sortie de reprise sympathique pour moi!! On rentre en se tapant le cul car la houle a forci.
Après quelques heures passées dans le jus, nous réussissons l'exploit de nous endormir devant le camping et de passer la nuit à 3 dans la mégane de Yo, deja bien emcombrée au demeurant!! Au matin , quelques minutes sont neanmoins neccessaires pour faire circuler un peu de sang dans des articulations trop longtemps pliées.
Changement de cale et remise à l'eau: nous voici à Saint Quay !! D'un accord commun, nous décidons de commencer plus soft que la veille: Fabrice ancre derrière une ile, ce qui permet à Yo et à moi de commencer la journée par un peu d'indienne dans peu d'eau. Et à Fab de s'équiper à son rythme, qui euh comment dire... prend un peu de temps!!
Après avoir exploré sans grand succès la face abritée de l'ile, on prend le courant avec Yo, et attaquons la dérive.
Fabrice vient à ma hauteur d'un coup de bateau: je prend le relai sur le bateau et lui attaque sa première dérive.
En plein courant, Fab croise les premiers bars de la journée, qu'il ne tire pas, ayant décidé de monter un peu la maille.
Pour ma part je contourne tout un archipel de secs et vais me placer en fin de dérive. A Cet endroit la le courant est plus acceptable: j'ancre le bateau, déroule un bout avec une bouée au cul du bateau et me mets à l'eau en attendant mes deux compères. Le premier agachon dans le jus, en plein sur le sable m'offre la visite d'un petit bar, puis d'un banc de belles royales. Elles n'ont pas l'air trop farouches mais je joue la sécurité et tire la première du banc. Y'a des journées qui commencent plus mal!!
Je ne ferais pas de second agachon, mes équipiers s'étend rués sur la zone.
Après quelques autres dérives pas très fructueuses, nous changeons de spot pour une autre petite ile: nous sommes maintenant en fin de descendant. Nous ancrons à l'abri du courant et nous partageons le travail: Fabrice part en quËte de homard, tandis qu'avec Yo nous partons exploré un grand champ de sargasses aussi beau que vide, mis à part des petits lieux et des gros mulets. Dans une petite veine de courant, 7 ou 8 bars sont calés, mais comme ils n'excèdent pas 1.5 kg ils restent en vie: le plus beau vient m'inspecter de très près, plutôt sympa comme moment. Un peu plus loin, au pied d'un tombant, un petit lieu trop curieux me distrait et je vois trop tard un gros bar sortir d'un trou. De rage le lieu y passe, d'autant plus qu'il avait trois gros poux très moche sur la tete. Mes potes me chambrent instantanément , mais 5 minutes plus tard fabrice est très content de m'enprunter mon lieu pour faire sortir un beau homard de son trou. Operation réussie avec un beau bleu pas loin du kilo. La zone est très riche en homard, nous en observons 3 ou 4 maillés mais repartons en quête de bar!!
On change de spot et attaquons les dérives sur un immense plateau: d'abord assez vide, excepté la aussi en homard: mais ramasser les bleus dans le courant n'est pas une mince affaire, et j'ai la gâchette qui me démange. Je laisse la vie à plusieurs bars, dont un de 2.5 kg environ qui avait un bide complètement distendu (femelle grainée ou occlusion intestinale?) Celui qui venait juste derrière y passe, dans les 1.5 kg lui aussi! Dans le même temps fabrice tire un griset. Dans la foulée du bar je fais moi aussi mon homard, qui me coute 4 apnées dans le jus. Un peu plus bas sur la dérive, le plateau se creuse en une sorte de cuvette peine de lançons:Yo y croise une raie et y flèche un maquereau; tandis que je n'y trouve que des petits bars et lieux. Je suis surpris d'y voir des grands lançons (ou Èquilles?) manger les plus petits qui forment la masse.
Après ça, je propose d'utiliser le courant montant pour explorer un archipel près du bord. En fin de journée, il n'y a que Fab qui ait encore envie de profondeur! J'espère trouver des bars en vadrouille dans peu d'eau, d'autant plus qu'il doit etre pret de 19h... On se met donc à l'eau en dérive: après quelques centaines de metres, je remonte dans le bateau, déçu par la zone: pas de lançons, peu de bar!! J'en ai quand meme attrapé un à la main du kilo dans un trou, que j'accroche bien vivant sous la bouée de Fab, histoire de le chambrer un peu!! Yo quand à lui est plutot exalté quand il me rejoint sur le bateau, il vient de rater de peu ce quiaurait pu etre sa première royale!! Fabrice finit par sortir de l'eau, rigole un coup en voyant ce qu'il apelle "un bébé" sous la bouée! Le bébé repart à l'eau et nous au port!!
On reste la dessus pour cette seconde journée.
A la cale Booster, nous déleste de notre pêche, Excepté quelques fruits de mer pour le repas du soir, car nous n'avons pas de frigo!! Ce soir la nous arrivons jusqu'au camping, malheureusement fort pauvre en gente féminine. Du coup tout le monde fait une bonne nuit.
Le lendemain nous attaquons sur la zone à royale de la veille: pas trace de dorades, juste quelques lieux et petits bars aux endroits ou le courant est le plus marqué, que nous ne tirons pas, excepté un lieu pour fabrice.
On essaye une nouvelle dérive, à quelques centaines de mètres de la. Une dérive aussi longue que peu productive, je déchire le seul poisson valable croisé en 1.5 bon kilomètre, un bar de 4 kg environ. Et perd un bon bout de temps à enrouler mon fil qui zigzague dans les sargasses et les laminaires. En fin de dérive, Yo tire une seiche, avant de manquer se faire emboutir par un vieux con en bateau. Qui lui passe volontairement juste dessus, malgré les avertissement de Fabrice dans le bateau et deux bouÈes à l'eau. Du coup branle bas de combat, on rembarque tout en vitesse et coursons le fuyard. je saute sur le bateau pour me retrouver face à un con authentique, caseyeur de métier, qui a aucun moment ne changera d'attitude ni même ne niera avoir fait exprès de DEVIER sa trajectoire pour obliger mon pote à plonger. Seul son age le préserve d'un cassage de gueule en règle et d'un passage à l'eau ; retrospectivement j'ai quand même quelques regrets!
Après cet Épisode difficile de se remettre à l'eau, nous changeons de zone pour des éboulis derrière une ile a quelques kilometres de la. On mange un bout, ce qui ne m'empeche pas d'avoir un peu froid à la remise à l'eau. Une fois à l'eau, les roches sont couvertes de gorgonnes et prometteuses mais hélas vide, excepté quelques petits homards, les éternelles vieilles et un gobie léopard (c'est la premiere fois que j'en vois un). Après une bonne heure sans résultats, nous changeons de zone.
C'est finalement près du bord, sur des fonds de sable de 2 à 7 m, que nous croiserons les dernières bestioles du périples :raie, seiche, araignées par dizaines, et un mulet et un bar qui finiront sur l'accroche poisson , ou plutôt la tête sous mon haut de combi, car l'accroche poisson est dans le bateau!!
Eric nous rejoint de nouveau à la cale :Il nous invite et nous héberge ce soir la, pour une soirée entre chasseurs bien sympathique. Nous dégustons les diverses merveilles ramassées et quelques bières, et nous endormons tous le ventre bien plein, excepté Yob qui en dernière minute fait offrande de son repas aux toilettes!!
Un bien bon périple, merci les gars, et vivement le week end prochain qu'on remette ça!!
D'autres photos ici : https://www.facebook.com/photo.php?pid=30561417&l=045390098e&id=1172055624